Pour le dévéloppement de la Côte d'Ivoire
MAINTENANT NOUS AVONS UN RÊVE
Notre beau pays la Côte
d’Ivoire doit devenir maintenant une véritable République où la liberté, la
démocratie et la justice deviendrons être une norme où les individus et la personne
humaine remplacerons la tribu, l’ethnie. La Côte d'Ivoire, un pays où nous serions tout simplement
Ivoirien et rien d’autre.
Notre rêve de cette Côte
d’Ivoire de maintenant ne peut se faire qu’en renouvelant la classe politique
d’aujourd’hui avec l’engagement responsable des jeunes au service du bien
commun au moyen des actions politiques.
Pour ce faire nous rêvons
de voir les jeunes en tout premier lieu manifester un amour pour le pays comme
condition du désir de la politique et comme but de l’action politique de tel sorte que
notre pays soit aimable et habitable, que nos villes, quartiers et villages
soient aimables et habitables.
En second lieu, ils devront
manifester le désir et la volonté d’édicter des règles qui constitueront la
garantie d’une pluralité concrète, d’une ouverture à la diversité infinie des
fils et filles de notre pays pour enfin aboutir à une nouvelle et véritable République. C’est bien entendu la garantie d’un vivre-ensemble par la prise en
compte des divergences et une acceptation des différences tribales et
ethniques.
De fait, seule une
meilleure compréhension de la politique pourrait situer dans son vrai contexte
d’abord la place et ensuite l’action de la jeunesse dans celle-ci.
Que peut nous inspirer le terme «politique» ? Car c’est la seule voie pouvant permettre d’instaurer maintenant la véritable République de Côte d’Ivoire. La politique n’a rien à voir avec les querelles à n'en point finir entre des groupes opposés comme nous le constatons bien souvent.
La politique ne rime pas
nécessairement avec la violence, ni la ruse pour atteindre des intérêts
égoïstes… La politique n’est pas une activité réservée à une classe
particulière de citoyens… La politique n’est pas l’apanage de certains riches
hommes âgés en quête de pouvoir… Ce n’est pas non plus l’affaire de jeunes
fortunés en quête aussi de pouvoir…
La politique c’est un
instrument de service pour l’intérêt général ; c’est un art noble auquel tout :
jeune, adulte, homme ou femme qui en a la capacité, devrait s’adonner pour la
cause commune.
La politique c’est tout
simplement l’art de diriger le pays. Si la politique se définit comme telle,
c’est qu’elle est une activité nécessaire à l’épanouissement du pays et non une
activité nuisible pour les citoyens. Elle engage tout le monde : jeune, adulte,
homme ou femme, mais particulièrement la jeunesse qui ne saurait raisonnablement
se soustraire de la gestion de la « rex publica » (la chose publique).
La place de la jeunesse dans la politique semble alors revêtir une tout autre signification. En effet, si l’on s’accorde à montrer la jeunesse comme l’avenir d’une nation, c’est dire aussi qu’on lui reconnait une responsabilité à la fois délicate et noble : être garante de l’avenir d’une nation. Cela implique nécessairement que la jeunesse a un rôle à jouer dans la gestion du pays en préparant maintenant l’avenir dont elle est le seul espoir et le seul gage.
C’est donc une nécessité
qu’on le veuille ou pas que la jeunesse soit actrice de la vie politique, si
l’on a compris que la politique en elle-même n’est pas mauvaise, et qu’elle est
intrinsèquement liée à la vie des hommes en communauté
Mais là encore il convient
de relever le rôle attaché à la place de choix de la jeunesse dans la
politique. Il est enfin temps que la jeunesse prenne ses responsabilités
vis-à-vis de l’activité politique.
Il ne s’agira plus pour la jeunesse de se constituer en pion du jeu politique, ballotée çà et là par des hommes politiques. Il ne s’agira plus pour la jeunesse de servir des causes particulières de certains hommes politiques à des fins pécuniaires. Il s’agit plutôt d’assumer le rôle qui lui revient de droit dans le pays. Il s’agit pour elle de prendre ses responsabilités face à l’histoire et en agissant de sorte à préparer une Côte d’Ivoire beaucoup plus rassemblée et forte. Son rôle est d’œuvrer à réconcilier les fils et les filles du pays en recherchant par-dessus tout, l’intérêt général.
L’avenir d’un pays c’est
la jeunesse et lorsqu’une chose vous appartient vous savez comment la
prendre…l’avenir de la Côte d’Ivoire appartient à la jeunesse ivoirienne bien
éclairée par ses leaders charismatiques et qui œuvre main dans la main sans
distinction aucune à l’image d’un fil résistant tissé de plusieurs autres et de
diverses couleurs.
Elle semble lourde cette
tâche, et en vérité elle l’est. Elle semble difficile car la gestion du pays et
l’instauration maintenant de la République véritable n’est pas chose aisée,
mais elle n’est pas impossible pour autant…
Avec LIDER, ensemble nous
y parviendrons !
Vangah Stéphane Clovis est né le 10 octobre 1983 à Bonoua en République de Côte d’Ivoire. Dirigeant de plusieurs d’entreprises privées, entrepreneur et homme politique, il est aujourd'hui Délégué Général de Liberté et Démocratie pour la République (LIDER).
Titulaire d’un BAC C au Lycée Classique d’Abidjan en 2001, diplômé de la MSTCF en 2005, d’un DESS en Fiscalité des entreprises en 2007 et d’un DEA de Gestion en 2008, il devient formateur des métiers de management avant de prendre la direction dans de plusieurs entreprises.
Stéphane fait partie de la nouvelle classe politique que des partis comme LIDER s'attèlent à faire émerger depuis plus de 10 ans. Au sein de LIDER, la responsabilité de la gestion des finances lui a été confiée depuis 2011.
Il est convaincu que la jeunesse doit enfin prendre son destin en main, dès aujourd’hui, en s’impliquant dans les activités politiques du pays.
Formateur
Depuis 2005, à l’issue de sa Maîtrise des Sciences Techniques Comptables et Financières (MSTCF) à l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan, il entame une carrière de Consultant-formateur parallèlement à ses études. Stéphane Vangah a été chargé de travaux dirigés de fiscalité et contrôle de gestion en maîtrise à l’UFR SEG de l’université FHB. A l’Université Méthodiste Unie de Côte d’Ivoire, il est chargé du cours et TD de contrôle de gestion de 2011 à 2020. Aussi il a enseigné dans les grandes écoles comme IBM-T, SUP’ELITE, ISTCJF dans les disciplines de comptabilité, fiscalité, contrôle de gestion, Audit et management. Il anime des séminaires de formation continue dans les cabinets agrée FDFP et dans les entreprises privées.
Consultant en management
Spécialiste des questions managériales, comptables et fiscales des entreprises, il a élaboré d’importants travaux dans son cabinet de conseils en management depuis juillet 2011. Il établit chaque exercice comptable d’une trentaine d’états financiers, participe aux assemblées générales ordinaires de plusieurs entreprises en Côte d’Ivoire.
Directeur Général d'Entreprise
En septembre 2013, il devient Directeur Général des entreprises composées d’établissements scolaires et universitaires, d’entreprises manufacturières. Travailleur chevronné et entrepreneur, il assure leur croissance et pérennité, rehausse leur image et positionnement en y introduisant une politique de diversification afin d’élargir les portefeuilles existants.
Entrepreneur
Stéphane VANGAH se lance dans l’entrepreneuriat. Il est co-fondateur en juillet 2011 d’un cabinet de conseil en management pour aider les TPE et PME a assurer la réussite de leurs initiatives privées et pour renforcer aussi les capacités en rendant plus pratiques les diplômés des universités et grandes écoles de Côte d’Ivoire afin de leur donner plus de chance d’accéder à un emploi.
En juillet 2016 il lance sa propre entreprise spécialisée dans les domaines du recouvrement de créances, de l’immobilier et de la livraison de biens.
Il commence son parcours politique par une vie associative bien remplie en appartenant d’abord au bureau de l’Association des Etudiants et Diplômés de la MSTCF (AED-MSTCF) 2005-2006 et au bureau de l’Association des Elèves et Etudiants de Bonoua et sous-préfecture (AEEBO) de 2006 à 2007.
Issu d’une famille militante du PDCI-RDA et passionné du libéralisme, il s’intéresse aux thèmes et propositions du candidat du RDR aux élections présidentielles d’octobre 2010. Son projet de société l’accroche et il fait campagne aussi bien au premier tour comme au deuxième tour pour le candidat et le représente même à la CEI locale de Bonoua. Les évènements post-électoraux lui fait revenir à la réalité car les pratiques observées laissent présager de l’exercice d’une politique non libérale.
Déçu mais ayant toujours foi en une
Côte d’Ivoire libre et démocratique, il côtoie en août 2011 le Professeur
Mamadou KOULIBALY, ancien Président de l’Assemblée Nationale (RCI), participe à
ses conférences, séminaires et ateliers sur la monnaie, la liberté, la
démocratie, le droit de propriété, etc…
Convaincu par les idéologies du Prof. KOULIBALY après un entretien à l’Assemblée Nationale, il devient militant de son parti, LIDER en septembre 2011
En octobre 2011 il est nommé attaché des finances auprès du président chargé du contrôle des actions comptables et financières du Parti.
Au 2ème Congrès du Parti en novembre 2014, il est confirmé dans la même fonction et se voit confié en plus la trésorerie générale du Parti. Il participe activement à la vie du Parti et décide d’être candidat aux élections législatives de décembre 2016 dans la circonscription électorale de Bonoua, Bongo Commune et sous-préfecture. Sa candidature est acceptée par le parti après avoir réussi au test de sélection. Il parcourt village et hameaux à la rencontre des électeurs et leur demande de le choisir afin qu’une fois élu il puisse s’opposer à la mise en œuvre de la nouvelle constitution, à cette spoliation légale du peuple ivoirien. Malheureusement son langage de vérité et d’opposant ne trouve pas une suite favorable aux près des électeurs.
En février 2017 il est nommé Délégué national à l’implantation pour la région du Sud-Comoé. Conscient qu’une campagne se prépare entre deux élections, il investi le terrain de sa région et lance au sein son Parti LIDER le mouvement politique « Maintenant… »
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