Flash-Info :
Tous ensemble pour l'amour de la Côte d'Ivoire
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Le Parti

Nous défendons nos principes les plus chers et non nos hommes les plus en vue. Nous subissons des rétorsions, mais nous ne sommes ni un syndicat pour nous battre uniquement pour le bien-être de nos militants, ni une secte pour la sanctification de nos leaders, que nous ne considérons ni comme des «gourous», ni comme des «dieux». Nous défendons même ceux qui nous haïssent, par principe, parce que nous souhaitons que la haine ne triomphe pas. Nous sommes menacés, mais notre destinée importe moins que celle de la Côte d’Ivoire. Nous croyons plus aux individus et à la personne humaine qu’en la tribu, l’ethnie, la religion ou la région d’origine de nos interlocuteurs. Notre force réside aussi dans la foi que nous avons en l’état de Droit et en l’avenir de l’humanité. L’inconnu ne nous fait pas peur. L’étranger nous renforce et nous stimule. Le voisin nous impose le savoir-vivre. Nous avons une vision claire de notre rôle, des défis, des enjeux politiques de notre pays et de l’Afrique. En attendant de devenir un parti de gouvernement, nous partageons généreusement nos convictions avec tous. Nous souhaitons qu’ensemble, nous puissions organiser les bases de notre prospérité collective et de notre progrès social. Telle est notre responsabilité et le sens de notre engagement. Liberté et Démocratie pour la République (LIDER).

Notre mission

Bâtir une société de confiance autour du droit, de la liberté et de la justice.

Notre objectif

Nous aspirons à conquérir le pouvoir d’Etat dans les urnes et à avoir des députés, élus municipaux, régionaux et un président à la tête de l’Etat de Côte d’Ivoire.

Notre vision

Un engagement responsable au service du progrès social en Côte d’Ivoire et en Afrique.

Notre force

Nous rejetons fermement le tribalisme, la xénophobie et l’instrumentalisation de l’ethnie, de la région et de la religion. L’inconnu ne nous fait pas peur.

Nous sommes un parti politique libéral d’opposition qui aspire d’abord à ce que la démocratie devienne la norme, la république l’instrument et la liberté le cadre de la vie politique, économique et sociale en Côte d’Ivoire et en Afrique. Nos critiques sont objectives. Nous refusons le mensonge, la grossièreté et la haine. Nous argumentons toujours et nous aimons être justes dans nos plaidoyers. L’injustice nous est insupportable. Nous sommes sévères avec le gouvernement, mais nous ne haïssons pas les adversaires. Nous ne souhaitons pas les tuer, encore moins les éradiquer, pour reprendre la malheureuse terminologie trop souvent utilisée par les hommes politiques et les médias en Côte d’Ivoire.

Première urgence : l'implantation de LIDER sur l'ensemble du territoire national

            Deuxième urgence : Participation aux processus électoraux à venir.

Le clivage Droite – Gauche est une grille de compréhension pertinente de la politique en Afrique En Afrique, on a coutume de parler, comme dans les pays occidentaux, de clivages politiques Droite-Gauche. Il y a des hommes et des femmes qui se disent de Gauche ou de Droite alors que sur notre continent, ce clivage ne représente rien de décisif du point de vue des libertés, et donc du développement de nos pays. C’est un artifice qui enferme les élites et les populations dans une illusion car, en pratique, les différents gouvernements, qu’ils se prétendent de Droite ou de Gauche, appliquent une politique identique, à savoir un modèle dirigiste dans lequel l’Etat contrôle tout, décide de tout, pour tout le monde et est propriétaire de tout. L’Etat est accaparé par ceux qui le gèrent et le considèrent comme leur propre patrimoine. Les partis qui se disent de Droite comme ceux qui se disent de Gauche ont la même conception de l’Etat, qui est celle d’une manne qu’il faut gérer et partager alors qu’ils devraient s’atteler à construire des Nations et à les conduire vers la prospérité et le progrès social. Ainsi, les élites se battent à mort pour le contrôle de l’Etat, dans l’unique dessein de se partager cette manne, alors même que cette institution n’arrive pas à assumer ses missions régaliennes. Ceci explique qu’après plus de 50 ans d’indépendance, le continent reste à la traîne par rapport au reste du monde. LIDER entend dépasser les clivages traditionnels du paysage politique ivoirien pour remettre les libertés politiques, économiques et sociales de la personne humaine au centre des préoccupations et des actions du citoyen et de l’Etat, tout en faisant de l’intérêt effectif pour ces libertés la seule vraie ligne de partage idéologique entre les différents pôles politiques. Il y a ceux qui considèrent que la liberté consiste à faire ce qu’ils veulent de la vie, du travail et du patrimoine des autres, en toute irresponsabilité, et il y a LIDER, qui considère que la liberté est le droit inaliénable pour chacun de faire ce qu’il veut de sa vie, de son travail et de son patrimoine en toute responsabilité, en inscrivant leur action dans les rouages de l’Etat de droit. Dans le premier cas de figure, il s’agit de tyrannie et c’est malheureusement le modèle qu’appliquent uniformément la plupart des partis politiques au pouvoir en Afrique qu’ils se revendiquent de Droite ou de Gauche. Dans le second cas, il s’agit de liberté. LIDER s’opposera à toute forme de tyrannie incompatible avec la liberté. Aucun groupe politique ne peut gouverner tout seul un pays Lorsqu’une équipe politique arrive au pouvoir en Afrique, la coutume est de partager les postes décisifs entre les différentes familles politiques pour éviter les mécontentements postélectoraux. C’est une imposture à l’égard des populations qui se sont déplacées aux urnes pour faire un choix qui au final se retrouve totalement dilué. Le propre de la démocratie est d’autoriser le vainqueur d’une élection à gouverner seul. Il n’appartient pas à l’opposant d’intégrer l’équipe gouvernante. Sa mission est de se positionner comme contre-pouvoir face au gouvernement pour veiller aux dérives éventuelles. Les gouvernements dits d’union et d’unité nationale sont de nature à tuer les fondements de la démocratie, les libertés, l’opposition et la logique de la République. Le rôle des partis politiques d’opposition est d’exercer un contre-pouvoir. La concurrence est en effet le meilleur mode de contrôle social. Si l’on élimine ce contrôle et si les libertés individuelles ne sont pas respectées, la démocratie prend les allures d’une dictature légitime et le pillage y devient légal. Sans opposition, la démocratie n’existe pas. C’est pourquoi LIDER rejette les gouvernements d’union, ne croit pas en l’efficacité des gouvernements d’unité nationale et refuse la logique égoïste du partage de la manne étatique. LIDER croit que la démocratie doit être intégrale, sinon elle n’est pas. Le retard de l’Afrique est lié à des politiques libérales Selon nombre d’analystes, les politiques libérales seraient en partie, responsables du malheur de l’Afrique. Ils appuient leurs propos sur l’échec des plans d’ajustement structurel émanant de politiques dites néo libérales qui ont été appliquées sur le continent par le Fonds Monétaire International (FMI) et la Banque Mondiale (BM). Ces politiques étaient pourtant loin d’être libérales et étaient plutôt d’inspiration keynésienne, au sens où elles prônaient l’interventionnisme, la social-démocratie et l’encadrement de l’économie par l’Etat. Elles ont naturellement débouché sur le protectionnisme d’intérêts inavouables. La vague des privatisations des années 90 ne peut être associée au libéralisme, puisque les concessions se sont faites hors marché, sans appel d’offre et ont débouché sur des monopoles protégés. Ces échecs ont abusivement entaché le libéralisme d’une connotation négative, puisque dans les faits, l’Afrique et essentiellement l’Afrique francophone n’a jamais connu le libéralisme. Dire le contraire est une imposture intellectuelle reposant sur une communication travestie. La fulgurante montée en puissance de plusieurs pays du Sud-Est asiatique ces vingt dernières années est un exemple édifiant. Alors qu’ils étaient moins bien dotés en richesses naturelles que l’Afrique, leur progression a reposé sur l’application de politiques libérales. La géométrie tribaliste peut promouvoir la démocratie Par souci «d’ouverture politique», il est de coutume, en Côte d’Ivoire, de répartir les postes d’Etat par ethnie, selon un quota arbitraire, sous prétexte de satisfaire tous les groupes tribaux, et toutes les régions du pays. Tant de ministres du Nord, tant du Sud, de l’Ouest, etc. L’on sacrifie ainsi la compétence, la complicité des équipes de travail et l’efficacité des personnes concernées. Cette forme de géopolitique n’est ni nécessaire, ni suffisante et encore moins saine dans une démocratie. Récompenser un groupe sur une base ethnique, exclut toute considération de compétence et dilue la responsabilité. Lorsque le représentant de l’un des groupes perd un jour sa fonction ou son poste, une crise politique grave s’installe car son ethnie entière se sent frustrée. Sachant que 65 à 100 groupes ethniques peuplent la Côte d’Ivoire, l’insatisfaction est permanente car tous les groupes ne peuvent accéder en même temps au pouvoir. Chez ceux qui se sentent exclus, la démotivation, les frustrations et la jalousie deviennent le terreau de la haine et des conflits. Le tribalisme ne peut donc être combattu par cet artifice géopolitique restrictif porteur de grands dangers pour la cohésion nationale. De même, lorsque le soi-disant représentant d’une tribu est mis en cause à tort ou à raison, son groupe entier est indexé, alors même que les groupes ethniques ne peuvent être tenus pour responsables des succès ou des échecs de leurs membres individuels. Les étrangers sont une menace pour notre pays Les Ivoiriens ne doivent pas avoir peur des étrangers. Contrairement à l’entendement général, les étrangers ne sont pas un problème mais une richesse pour le pays. Les économies les plus autarciques et les plus fermées sont aussi les moins riches et les moins prospères. A l’inverse, l’histoire montre que les pays les plus ouverts aux étrangers sont aussi ceux qui connaissent le moins de conflits. Un pays comme la Côte d’Ivoire, financé par l’étranger à travers l’aide publique au développement et les ventes de ses matières premières sur les marchés internationaux, peut difficilement justifier une fermeture face à l’étranger. La Côte d’Ivoire doit s’ouvrir et ne doit pas avoir peur de sa propre histoire, ne doit pas avoir peur de l’autre. Il est foncièrement faux de soutenir que l’étranger est une menace pour notre pays. Les hommes et les femmes qui immigrent en Côte d’Ivoire le font parce qu’ils y trouvent des moyens d’enrichissement personnel. Cet enrichissement ne peut appauvrir la Côte d’Ivoire, il doit au contraire l’enrichir par la mise en œuvre d’une politique appropriée. La responsabilité des Ivoiriens est de créer un cadre de vie qui permette à tous de s’épanouir dans le respect des règles fondamentales de la République que sont la Démocratie et la Liberté.

De l’indépendance en 1960 jusqu’en 1990, la Côte d’Ivoire a évolué contre sa propre Constitution, dans un environnement politique reposant sur le parti unique. L’ouverture au multipartisme, imposée sous la pression populaire, s’est heurtée au confort de l’environnement protégé qui portait les responsables du parti unique. Le passage à la démocratie a été douloureux. Les conflits qui s’en sont suivis ont cristallisé le débat politique autour des ancrages régionaux des partis politiques. LIDER ne se positionne pas par rapport à des schémas qui réduisent l’activité politique à des antagonismes inter-ethniques, à des conflits inter-tribaux ou encore à des conflits personnalisés à l’extrême. LIDER se positionne par rapport à ses propres valeurs et principes : contre le tribalisme et toute politique qui s’y adosse, contre le centralisme et le dirigisme étatique, contre la personnalisation du débat politique, contre la violence politique. LIDER est pour la liberté, la transparence, les règles claires du jeu politique, la préservation des droits individuels et la responsabilité qui va avec, la citoyenneté et la libre concurrence. Actuellement, l’offre et les pratiques des partis politiques en Côte d’Ivoire ne répondent pas à ces valeurs, à ces règles et à cet idéal. LIDER souhaite se positionner en dehors de toute problématique ethniciste, en proposant aux Ivoiriens un point de rencontre logique de coexistence et d’inclusion. LIDER souhaite briser le cycle infernal de la violence politique et engager un cycle vertueux reposant sur des valeurs universelles qui placent l’Homme au centre de l’action politique. LIDER est profondément attaché à cet humanisme et place les valeurs liées à l’homme avant les valeurs africaine et ivoirienne. LIDER a été créé au moment où l’Etat de Côte d’Ivoire est gouverné par une coalition politique dont les valeurs et le programme sont incompatibles avec les siennes. Aussi, LIDER se situe-t-il dans l’opposition. Il prône une opposition sans arme ni violence ; une opposition ferme et sans concession qui sera présente quand il convient de se mobiliser pour la Côte d’Ivoire, mais également quand il faut dénoncer les abus préjudiciables au pays; une opposition préparée pour une alternance démocratique dans quatre ans. Bien que LIDER s’inscrive sur la voie du libéralisme dont, semble-t-il, se réclame également la coalition gouvernementale au pouvoir, cela ne signifie pas que le parti soit rattaché à cette dernière. LIDER se présente comme un défenseur des libertés. Notre acception de la liberté va au-delà de la liberté politique et notre libéralisme n’a rien à voir avec la version édulcorée du capitalisme d’Etat que pratique le gouvernement actuel. Notre conception de la démocratie suppose le strict respect de la Constitution et des Institutions de la République. Peut-on être libéral et violer la Constitution sur laquelle l’on a prêté serment ? Peut-on être démocrate et prendre des ordonnances illégales sans le consentement des représentants du peuple ? Peut-on être démocrate et prélever sur les revenus du peuple des montants faramineux sans l’autorisation des représentants du peuple ? Peut-on être libéral et passer de gros marchés publics de gré à gré, sans aucune transparence ? Peut-on être démocrate et s’endetter dans des proportions qui mettent en péril l’équilibre des générations futures ? A toutes ces questions LIDER répond «Non» et donc, se démarque de toutes les composantes de la classe politique actuelle. LIDER propose des politiques alternatives libérales et donne un contenu crédible à ces idées pour sortir de l’illusion des mots en assumant pleinement son rôle. Les pays les plus avancés au monde sont ceux qui ont fait la promotion des valeurs de liberté, de démocratie, d’Etat de droit et de propriété privée. LIDER souhaite progressivement habituer les populations à ces possibilités nouvelles, afin qu’elles prennent pleinement conscience qu’un avenir meilleur construit sur la base de la liberté est possible. C’est ainsi que les transformations se feront. Le pari de LIDER est de redonner une place à l’Homme, de réveiller les consciences et de redonner aux citoyens le goût de l’engagement politique et l’espoir de lendemains meilleurs. Avec LIDER, nous cessons d’avoir peur : d’avoir peur du voisin, peur de l’autre, peur du prochain, peur du lendemain, peur de la politique, peur de l’étranger, peur de nous-mêmes en définitive.

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